Cette série documentaire en deux parties de 52’ de Patrice Franceschi et Valérie Labadie bientôt sera diffusée sur France 5. Le premier Au vent de la Guyane nous fait vivre une nouvelle expédition aux côtés des équipes de la Boudeuse, ambiance exploratrice garantie. Dans la seconde partie de cette série inédite, L’or de Ouanary, c’est une autre aventure de l’équipage qui approchent les chercheurs d’or clandestins du territoire de Ouanary. Au vent de la Guyane, le 28 mai 2011 à 16 h, puis L’or de Ouanary, le 4 juin 2011.
Patrice Franceschi a embarqué sa caméra à bord de la Boudeuse, en direction de la Guyane pour une expédition scientifique, humaine et philosophique.
Dans la lignée de l’esprit positiviste des explorations de Bougainville, l’équipage de la Boudeuse hisse les voiles en direction de la Guyane pour une aventure scientifique, humaine et philosophique filmée par Patrice Franceschi à bord du somptueux trois-mâts. Pendant six semaines, les navigateurs ont traversé l’Atlantique Nord pour rejoindre Cayenne. Sur place, trois expéditions au milieu de la jungle, des fleuves d’Amazonie et des montagnes attendent les explorateurs qui vont ainsi analyser l’impact du peuplement autour du fleuve Maroni, répertorier les espèces de poissons encore inconnues et étudier la richesse de la végétation et l’érosion des reliefs de la région.
Rediffusions
Au vent de la Guyane
mercredi 8 juin 2011, 15 h 30
mercredi 15 juin 2011 0 h 20
L’or de Ouanary, samedi 4 juin 2011, 16 h
L’équipage de la Boudeuse part pour une seconde expédition à la découverte de la biodiversité des marécages de la pointe Béhague et de ses chercheurs d’or.
A peine remis de leur périple dans la jungle amazonienne, les navigateurs de la Boudeuse partent pour une seconde expédition dans les marais inhospitaliers de la pointe Béhague. Naturalistes, zoologues et biologistes sont là pour recenser la biodiversité de cette région marécageuse. Mais la mission s’intéresse surtout à l’exploitation clandestine de l’or qui est à l’origine de la dégradation de l’écosystème forestier. L’équipage part donc à la rencontre des orpailleurs de Ouanary, à la frontière brésilienne, qui, jour après jour, cherchent laborieusement quelques grammes d’or et ne trouvent souvent rien. Cependant, ils sont toujours plus nombreux à venir chercher ce métal précieux, promesse d’une vie meilleure.
Rediffusions
mercredi 15 juin 2011, 15 h 30
mercredi 22 juin 2011, minuit
A lire pour en savoir plus… (Source France 5, par Nathalie Blain)
Dans cette série documentaire en deux volets, Patrice Franceschi et ses coéquipiers larguent les amarres de La Boudeuse vers l’Amérique du Sud. Ce somptueux trois-mâts met d’abord le cap sur la Guyane. Rendez-vous la semaine prochaine dans la commune de Ouanary, à la frontière brésilienne.
Après avoir sillonné l’océan Pacifique, les mers du Sud et remonté l’Amazone, l’équipage de La Boudeuse hisse à nouveau les voiles, en direction, cette fois-ci, de la Guyane. Objectif : mener une expédition à la fois scientifique, philosophique et humaine, dans la lignée de l’esprit positiviste des explorations de Bougainville. Cette aventure commence à bord, où il s’agit de vivre en communauté. Durant six semaines, pour arriver à bon port, les navigateurs traversent l’Atlantique Nord. Au gré des manœuvres, des escales, mais aussi des moments festifs, la frégate affronte vents et marées avant d’atteindre Cayenne. Sur place, des scientifiques de tous horizons rejoignent les aventuriers. Missions botaniques, entomologiques, géologiques, biologiques et géophotographiques attendent les équipes de La Boudeuse, qui vont mener trois expéditions aussi ardues que passionnantes, au milieu de la jungle, des fleuves d’Amazonie et des montagnes. Boussoles et appareils photo en poche, les géophotographes analysent l’impact du peuplement autour du fleuve Maroni. La deuxième équipe part à la recherche de cours d’eau en bordure du massif Lucifer afin d’y répertorier des espèces de poissons encore inconnues. L’exploration s’achève plus au nord par une étude sur la richesse végétale et l’érosion des reliefs. Partout, l’étroite relation entre l’environnement, le climat et le mode de vie se dessine. Au fil de l’eau ou dans l’épaisse forêt amazonienne, les explorateurs rencontrent des hommes, observent la faune et la flore, en marge de la modernité. Et découvrent les côtes guyanaises, paysages porteurs d’histoire et de mystères insoupçonnés.