Parmi les rendez-vous de la septième saison de la série documentaire Sale temps pour la planète, de France 5, l’un des épisodes est consacré à la République Dominicaine. Il est rediffusé le 8 septembre 2013.
Bouleversements climatiques, choix déraisonnables de construction, amplification des catastrophes naturelles, etc., impliquent des constats qui pour autant m’empêchent pas l’homme de continuer à prendre de mauvaises décisions où plus simplement de ne pas en prendre. Des observations valables pour les Caraïbes, comme pour la République dominicaine. Un pays dont l’économie repose notamment sur le tourisme et où vit une population de près de 10 millions d’habitants, dont la communauté haïtienne, venue de l’autre partie de l’île et qui constitue la part de population la plus pauvre du pays.
Samedi 8 septembre à 1 h 35,c’est un Sale temps pour la planète, en République Dominicaine
Avec 4 millions de touristes chaque année, la République Dominicaine est le pays le plus visité des Caraïbes. Séduits par ses immenses plages de sable blanc et ses hôtels « all inclusive », ils viennent pour l’essentiel d’Amérique du Nord et d’Europe. Un succès tel que le gouvernement souhaite doubler la capacité d’accueil du pays d’ici à 2020. Mais cet objectif risque bien d’être menacé par des fléaux de toutes sortes.
Outre les cyclones annuels, l’île est en proie aux séismes. Une terrible secousse comme celle qu’a connue Haïti en 2010 pourrait très bien se produire à Saint-Domingue, située à seulement 300 Km de là. Avec les tremblements de terre, ce sont leurs corollaires, les tsunamis, qui menacent de s’abattre sur ces paysages de cartes postales. Face au spectre haïtien, la République Dominicaine est-elle prête à relever le défi ?
Un film réalisé par Thomas Raguet, parmi plus de 30 réalisations à travers lesquelles on comprend que « si la planète souffre, ce n’est pas seulement à cause du bouleversement du climat, c’est aussi parce que l’homme a, ces dernières décennies, changé considérablement son mode de vie ».