Dimanche 10 octobre prochain sera donné un nouveau Bal Créole à La Bellevilloise dès 18 h, dans le cadre très original de la Halle aux Oliviers .
Ce premier rendez-vous inscrit au programme de la salle parisienne marquera l’ouverture de la saison qui devrait voir se succéder les musiciens qui ont, ça s’impose, déjà sévit dans les bals et fait danser le public. Konpa et biguines au programme des inconditionnels du bal du dimanche après-midi.
Le final prévoit une projection vidéo, l’exposition de photo et de la poésie.
Géomuse, à travers la programmation mensuelle du Bal Créole de la Bellevilloise, réactive la tradition du « punch en musique » antillais qui a révélé, des années 30 aux années 80, des Antilles à Paris, des groupes phare de la musique caribéenne. Des frères Stellio à Tabou Combo, avant le Zouk sévissait le Bal !
Ce rendez vous bimensuel vous assure de revivre ces ambiances chaleureuses et décontractées autour d’orchestres enfiévrés, de conteurs, de DJ sessions, de projections et d’une restauration créole. Pour cette rentrée du cabotage à travers la caraïbe, elle vous propose une reprise spéciale « Veillée de conteurs et déhanchements languides » avec Thierry Vaton, Thierry Fanfant, Tony Chasseur, Bago, Sonny Troupé et DJ Kongokween.
Le Bal Créole, est un outil à géométrie variable musical et pluridisciplinaire qui s’empare mensuellement de la Bellevilloise (Paris) et occasionnellement d’autres espaces, pour affirmer qu’avant le Zouk sévissait le bal ! Grâce à un cercle associé de musiciens caribéens vivant en métropole et renouant avec la tradition festive qui remonte aux années 30, (entraînée par des figures aussi diversifiées que Stellio, ou Tabou Combo), le bal créole est devenu un véritable laboratoire musical et un carrefour d’initiatives.
Avec ses orchestres de personnages pittoresques, ses danseurs, ses conteurs, ses projections de photo, de films et le savoir-faire culinaire antillais, Le Bal Créole, transgression de l’appellation doudouiste qu’il évoque, est aussi une plongée dans les terres marronnes, un cabotage à travers les métissages improbables de ces poussières d’île que l’on croît connaître, mais qui ne se dévoilent pas si facilement. Le Bal créole semble né sous le signe du « lyannaj ». On pourrait dire « lianer » ou « créer des liens », puisqu’il n’y a pas plus beau mot que le français le plus voyageur n’est fait naître.
Le Bal Créole, est un outil à géométrie variable musical et pluridisciplinaire qui s’empare mensuellement de la Bellevilloise (Paris) et occasionnellement d’autres espaces, pour affirmer … qu’avant le Zouk sévissait le bal ! Grâce à un cercle associé de musiciens caribéens vivant en métropole et renouant avec la tradition festive qui remonte aux années 30, (entraînée par des figures aussi diversifiées que Stellio, ou Tabou Combo), le bal créole est devenu un véritable laboratoire musical et un carrefour d’initiatives.
Avec ses orchestres de personnages pittoresques, ses danseurs, ses conteurs, ses projections de photo, de films et le savoir-faire culinaire antillais, Le Bal Créole, transgression de l’appellation doudouiste qu’il évoque, est aussi une plongée dans les terres marronnes, un cabotage à travers les métissages improbables de ces poussières d’île que l’on croît connaître, mais qui ne se dévoilent pas si facilement. Le Bal créole semble né sous le signe du « lyannaj ». On pourrait dire « lianer » ou « créer des liens », puisqu’il n’y a pas plus beau mot que le français le plus voyageur n’est fait naître.