C’est reparti pour une soirée en Caraïbe via Ushuaia TV avec un passage par les atouts nature de la Guyane et de la Guadeloupe dans la soirée du mercredi 10 avril 2013.
À partir de 20 h 40, c’est d’abord sur la zone côtière que s’arrête le documentaire d’Emmanuel Réau et plus tard dans la soirée c’est Sous les alizés des maisons de bois qui conduira le téléspectateur plus en avant sur les terres guyanaises. Le film de Dominique Martin-Ferrari, récompensé en 2011 par la SERE (société européenne des réalisateurs de l’environnement), s’intéressera à l’habitat écologique.
La grille de programme de cette même journée propose aussi deux autres visions de la Caraïbe avec Un jour la terre s’est noyée consacré aux Bahamas et, vers 21 h 30, Les aléas d’un peuplement sur la Guadeloupe.
Guyane: un littoral en mouvement, mercredi 10 avril à 20 h 40
La population guyanaise s’est installée principalement sur le littoral. Or, le trait de côte évolue entre érosion et envasement au gré des tempêtes et des apports alluvionnaires de l’Amazone. Ces aléas menacent les habitations. La mangrove est la meilleure des protections à ce phénomène qui pourrait être aggravé par le changement climatique en cours.
Rediffusions :
Vendredi 12 avril 2013 à 08 h 25, dimanche 14 avril 2013 à 7 h 20 et mercredi 17 avril 2013 à 8 h 50
Sous les alizés des maisons de bois, mercredi 10 avril à 21 h 05
Sous les tropiques, les conditions climatiques sont extrêmes et rendent d’autant plus nécessaire une adaptation des constructions modernes à ces contraintes. Les architectes plaident aujourd’hui pour des réalisations qui tiennent compte du climat au lieu de s’y opposer. L’architecture bioclimatique « naturellement confortable » utilise le bois et les énergies renouvelables et participe à l’image « nature » de la Guyane.
Rediffusions :
Vendredi le 12 avril 2013, à 08 h 55, le dimanche 14 avril 2013 à 07 h 45 et le mercredi 17 avril 2013 à 09 h 15.
Les aléas d’un peuplement, mercredi 10 avril, 21 h 30
La Guadeloupe, comme les autres îles antillaises, n’a jamais eu de contact avec le continent américain. D’origine volcanique, elle est sortie des eaux. Parmi les animaux guadeloupéens actuels, beaucoup sont arrivés avec l’homme. Des espèces ont disparu comme le perroquet guadeloupéen, d’autres existent encore comme le tapé (pic de la Guadeloupe). Des espèces endémiques comme l’iguane des Antilles sont menacées par des espèces introduites comme l’iguane commun. On découvre également le résultat d’une chaîne infernale et classique en milieu îlien : un animal est introduit pour en combattre un autre, il prolifère et réussit plus ou moins son œuvre. C’est ainsi que prolifèrent rats et mangoustes.
Rediffusions : vendredi 12 avril 2013 à 09 h 20 et mercredi 17 avril à 07 h 50
La nature et l’homme : Guadeloupe, nuances de verts, de Philippe Prudent, à mercredi 10 avril, 22 h
Un groupe de jeunes Guadeloupéens, attirés par la promotion organisée par le Parc régional, a décidé de consacrer quelques jours de vacances à la découverte de leur écosystème, très affecté par le manque de conscience de leurs aînés. Guidés par un scientifique, ils partent à la rencontre des spécialistes de chaque domaine et, in situ, ils apprennent à connaître leur milieu ambiant et ses faiblesses.
Un jour la terre s’est noyée, mercredi 10 avril, 13 h 40
Nicolas Hulot nous invite au voyage dans les Caraïbes : des Bahamas au Mexique en passant par Cuba et l’île de Montserrat, l’évolution géologique, animalière et humaine nous est contée. Là, l’histoire de la Terre a été bouleversée il y a 60 millions d’années par la chute d’une météorite provoquant la fin des dinosaures puis l’avènement des mammifères. Quelques centaines de milliers d’années plus tard, l’immense désert devenait mer sous l’effet de la fonte des calottes glaciaires due au réchauffement climatique. Cette série de bouleversements a forgé les Caraïbes. Voyage original à travers l’histoire de ces îles éphémères.